J’ai eu le plaisir d’effectuer pour le groupe « Sourcing et analyse » du GFII une présentation consacrée aux apports de l’intelligence artificielle dans le processus de veille dont vous trouverez ci-dessous le support.
3094 Téléchargement | 1.0 | Christophe Deschamps | 23-04-2021 14:00 |
J’ai eu la chance d’y intervenir en compagnie de Frédérique Segond, Directrice du secteur défense de l’INRIA, qui a nous a éclairé de son savoir sur les aspects plus techniques et les évolutions attendues de l’IA. Un grand merci à elle!
Cette présentation a été ajoutée à la base de connaissances d’Outils Froids.
PS : la liste d’éditeurs de plateformes de veille cités ne se veut pas exhaustive. Ceux qui n’ont pas été mentionnés pour leur utilisation de l’IA peuvent m’envoyer un email ou ajouter un commentaire ci-dessous (ce sera un bon début de recensement 😉 )
Image par Gerd Altmann de Pixabay
Merci Christophe pour ce partage : je n’avais malheureusement pas pu suivre toute votre intervention lors du webinaire du GFII. En vous lisant, on comprend que l’IA pénètre bien nos activités de veille, à un rythme assez lent certes, néanmoins les choses bougent en profondeur, en particulier du côté des plateformes d’éditeurs.
Bonjour Benoît,
Merci pour votre commentaire.
Effectivement, je trouve les éditeurs globalement très lents sur le sujet de l’IA. Même le « simple » machine learning n’est pas si courant. Je suis bien sûr conscient qu’il faut du temps pour que des algos soient un minimum pertinents mais cela fait longtemps qu’on en parle. Un simple système de personnalisation de type Amazon par exemple, appliqué à des sources/articles aurait pu être intégré il y a longtemps. Idem pour le speech-to-text dans les vidéos Youtube (ou autres) qui n’est pas forcément de l’IA mais peut en intégrer. Le risque c’est qu’à terme ce soit une fois de plus les GAFAM et autres grandes entreprises technos (Nvidia par exemple) qui proposent les solutions les plus innovantes et intéressantes pour les veilleurs, qui devront alors réorienter leurs choix budgétaires. Seuls des partenariats, souvent coûteux, peuvent il me semble permettre maintenant aux éditeurs d’intégrer de l’IA dans leurs solutions.